La croissance, à quel prix ?

Hop, si vous n'avez rien à regarder à la télévision voilà un bon petit reportage sur les grands enjeux de l'économie et la question de la fameuse croissance qu'on nous sort à toutes les sauces.
Le lien finance/croissance et la financiarisation de l'économie réelle expliquent les réajustements d'effectifs dans les grandes entreprises avec notamment des beaux accords de compétitivité.

Déchiffrage met en lumière et en débat les grands enjeux de l'économie avec les moyens du documentaire et la longue-vue du journal Alternatives économiques. Un premier numéro consacré à la question de la croissance.
De Montreuil à Berlin en passant par Bangalore, questionnement sur les vertus et les méfaits de la croissance.



Déchiffrage par ARTEplus7

Commentaires

  1. Édifiant reportage. La fin d'une économie de croissance. Après la décroissance, à voir...
    "Changer d'expert et remettre les économistes à leurs places" bravo!
    Au fait, je bosse (bossais) chez Alcatel-Lucent...

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    1. Oui, mince. On ne sait pas encore qui sera viré. ça va venir vite.
      Après quand tu es le plus jeune...

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    2. Surtout que d'après ce que j'ai suivi aujourd'hui la décision est assez brutale. La raison est toujours la même, la sacro-sainte compétitivité.

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    3. 1 milliard d'économie et le reste dans d'autres poches qui ne sont pas vides!
      Et ce sont des personnes seules qui vont se retrouver sur le carreau avec un enfant à charge. Brillant!

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  2. Alcatel-Lucent... le site de mon patelin (Orvault) est atteint de plein fouet. J'ai discuté avec des jeunes de 35-40 ans qui n'en menaient pas large.

    Je sais, à côté de cela il ya la décroissance, et en corollaire un changement de société, un changement de mentalités, une économie basée non sur l'offre, mais sur la demande. Un retour aux échanges de proximité. La fin des gadgets technologiques à obsolescence boostée. L'apprentissage de la vie de voisinage avec des personnes qu'on ne voyait même pas. Après tout, serait-ce si dur ? Pour l'adaptation, disons deux générations. C'est simple, tout simplement comme si on changeait de pays : en pratique, ce serait le cas.

    Pour mémoire, gamin j'ai connu "les chars à bancs" tirés par un cheval, UN téléphone à "la poste", les radios ondes longues et moyennes (ah, Radio Casablanca le matin, sa musique) de la taille d'un gros micro-ondes : on ne vivait pas plus mal, après tout. Différemment, c'est clair. En somme j'ai changé de pays, déjà.

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    1. Pour le numérique il faut vivre avec son temps, par contre je trouve toujours scandaleux que les erreurs de stratégie des dirigeants d'entreprise sont toujours payées par les salariés.

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  3. Arte ayant mis sa vidéo en privé, je vais tenter de la retrouver ailleurs.
    En attendant il y a ce petit extrait ici

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