En route contre une présidence impuissante



Nicolas Sarkozy signe des dédicaces quand il peut, c'est à dire dès qu'il voit ses fans et il n'en a plus beaucoup. Mais comme un champion que ses plus fidèles partisans voient encore, il ne peut que finir premier même s'il est à la ramasse. Il veut une belle course jusqu'à la loyauté, du moins sa loyauté comme il la conçoit, sans concurrence réelle parce qu'il veut rester le meilleur sur la photo.
Mais les concurrents sont devant et lui roule comme un cave, sa posture sur son vélo est ridicule, tout est ridicule chez lui quand il veut jouer au champion. Il n'est pas foutu d'être beau dans l'effort devant le photographe, il souffre pendant que son garde du corps se promène en fumant une clope. 
Il se convainc d'être fort et d'avoir été plus fort au pire de son époque que le tenant du titre actuel, c'est ridicule et ça ressemble à un concours de bite indécent pour celui qui espère être le leader inconditionnel et adulé en 2017.
On ne lui rappellera plus pourquoi il s'est fait dégager comme une merde, ça ne sert à rien, il n'écoute que lui-même. La montée est encore longue et il passe son temps à regarder derrière en pestant, il n'a aucun style, c'est un baltringue.

Commentaires

  1. Pourvu qu'il gagne les primaires, Piketty le blaireau ne pourra plus voter Juppé.

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