L'IVG, une affaire d'homme



Pas une seule femme autour de Donald Trump mais je ne suis pas étonné, pourquoi en avoir comme collègue alors que chez les Républicains la femme doit faire des enfants, rester en cuisine et a surtout le droit de fermer sa gueule. A noter que les indiens, les pauvres et les mexicains (bougnoules des réactionnaires américains) ont aussi des nouveaux droits depuis l'investiture de Donald Trump, on attends le tour des homosexuels en espérant qu'ils évitent la prison. François Fillon et Marine Le Pen peuvent rêver.

Commentaires

  1. Au Texas, place forte républicaine, un législateur, pas gêné par le fait que la Cour Supême des USA ait affirmé la légalité de l'avortement, et le droit à cette procédure, a l'intention, s'il ne l'a déjà fait, de déposer un projet de loi faisant de l'avortement une "félonie", ce qui priverait donc toute femme ayant avorté de certains droits civiques, dont le droit de vote. Précision : il n'accepte aucune exception (viol, santé de la femme, inceste…).

    Bien entendu, cette loi serait rejetée devant la Cour Suprême, tout au moins tant que celle-ci ne revient pas sur son ancienne décision, ce qui pourrait bien arriver une fois que Trump y aura nommé des juges fanatiquement de droite et fanatiquement chrétiens.

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    1. Il ne manque plus qu'une condamnation par lapidation et ils pourront fêter ça autour d'un thé à la menthe avec leurs meilleurs ennemis.

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  2. Je ne vois pas pourquoi les femmes auraient leur mot à dire sur nos progénitures. Déjà qu'on se fait chier à rentrer à la maison ouf baiser plutôt que de picoler avec les copains.

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