Second degré
Lors de la galette à l'Elysée, Emmanuel Macron a salué "la France humble, silencieuse, au travail". L'extrait vient d'un article de Paris Match à propos de la "galette républicaine", article sympathique avec peu de mots et beaucoup de photos comme avec leur habitude, la mollesse des mots, l'hypnose des photos. Tout va bien, la France travaille et mange de la galette. Je pense qu'il faut le prendre au second degré, à l'aise. Du moins pour ceux qui aiment la galette. Sauf que moi depuis quelques jours j'ai vu la lumière depuis la polémique lancée malgré lui. En effet Fabien Roussel m'a fait plaisir avec ses tweets sur la bonne bouffe pour tous et depuis je ne pense qu'à voter pour lui. "Un bon vin, une bonne viande, un bon fromage : c’est la gastronomie française. Le meilleur moyen de la défendre, c’est de permettre aux Français d’y avoir accès" Le bonheur et la vérité mais la France des insoumis a réagi comme s'e...
C'est quoi cette tendance de monter ses pieds? C'est du FalconHillStyle?
RépondreSupprimerPS: tous droits réservés par laloute! ;-)
Je ne sais pas, la prochaine fois je mets des bas résille.
SupprimerHum... je t'imagine mal en bas résille...
SupprimerArrivant en Ferrari Enzo, davantage. Je dis cela parce que mon gendre, fan de la marque, a eu le privilège de piloter une Ferrari sur le circuit permanent de la Sarthe. Hors compétition évidemment. La file d'attente est de un an minimum. Le modèle étant défectueux, il a dû attendre un an de plus. L'attente valait le coup.
Ici et maintenant, c'est la température idéale. Léger courant d'air entre le côté sud-est et le côté nord-ouest de l'appart'. Genou droit délicatement chauffé par l'alim de la petite bécane (63 cm de haut, 850W Gold, écran iiYama 26", le reste à l'avenant, conception maison). Imprimante A3 à gauche, scanner A3 à droite. Ma voiture est nettement moins chère.
Et samedi-dimanche, tous à Notre Dame des Landes pour le forum-spectacle annuel. Du beau monde. Jusqu'à 15h près du carrefour des Ardillères je serai là à l'entrée. A bas l'aéroport, et son monde. Et vivent les opposants, surtout porteurs d'un ruban qui, parfois, a encore une signification. Comme chez Marie-Monique Robin, prix Albert Londres 1995. J'étais aux premières loges.
Non à l'aéroport, et à son monde même si actuellement je dois assumer un certain gaspillage d'énergie pour contrer les partisans de ce monde.
Tu as raison, tout compte fait je ne suis pas encore prêt pour les bas résille.
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