La censure


C'est l'histoire d'un clown triste pas très bien dans sa tête en ce moment et qui s'imagine être dans une dictature, une vraie de vrai, un truc bien sévère à la limite de faire concurrence à la Corée du Nord avec un affreux dirigeant à la tête du pays dont on dit qu'il mange les petits enfants à la croix de bois.
Le type en question, à force d'imagination débordante et poussé par une haine de constipé, s'étonne d'une éventuelle censure que pourrait subir un journal d’extrême-droite, il ne comprends pas lui qui a lu Brasillach, Tintin au Congo, la Bible, les Mémoires du Général de Gaulle et certainement l'annuaire de Guy Bedos alors il s'insurge sur son blog.
Lui le défenseur de la liberté individuel regrette la belle époque de la liberté d'expression, celle où on ne brûlait pas les livres par exemple, il conspue le retour des fantômes censeurs sur un ton solennel:

On ne négocie pas avec la liberté d'expression (rires pré-enregistrés)

Sauf qu'on ne peut pas laisser de commentaires chez lui quand on n'a pas ses idées.


Commentaires

  1. Je m'en doutais, je ne sais pas pourquoi, que le résultat serait celui-là.

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  2. Vous êtes ignobles. Vous êtes en train de démontrer que Corti est un gros con alors qu'on ne sait pas s'il est gros.

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  3. la cortoperrine la cortoperrine la bonne tisane pour l'effroi !

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  4. Oui c'est rigolo. Censure et insulte, il fonctionne comme ça.

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    1. Il dénonce ce qu'il pratique, il se croit en dictature mais il défend la pire des politiques, il est dans son monde.

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