Second degré
Lors de la galette à l'Elysée, Emmanuel Macron a salué "la France humble, silencieuse, au travail". L'extrait vient d'un article de Paris Match à propos de la "galette républicaine", article sympathique avec peu de mots et beaucoup de photos comme avec leur habitude, la mollesse des mots, l'hypnose des photos. Tout va bien, la France travaille et mange de la galette. Je pense qu'il faut le prendre au second degré, à l'aise. Du moins pour ceux qui aiment la galette. Sauf que moi depuis quelques jours j'ai vu la lumière depuis la polémique lancée malgré lui. En effet Fabien Roussel m'a fait plaisir avec ses tweets sur la bonne bouffe pour tous et depuis je ne pense qu'à voter pour lui. "Un bon vin, une bonne viande, un bon fromage : c’est la gastronomie française. Le meilleur moyen de la défendre, c’est de permettre aux Français d’y avoir accès" Le bonheur et la vérité mais la France des insoumis a réagi comme s'e...
C'est vrai ça ! Hallucinant!
RépondreSupprimerBon, la mère Obama avec ses 1.80 ne doit pas être facile-facile à manœuvrer non plus.
tu l'as cherchée longtemps, cette photo ?
RépondreSupprimerMé non, en vérité il séduit madame Obama, tout ça pour pouvoir tripoter Barak dont il était raide dingue.
RépondreSupprimer@JU,
RépondreSupprimerNon, elle est venue à moi ;)
Excellent !
RépondreSupprimerTout le monde (je parle des importants, pas de nous), était au courant et c'est bien cela qui est dramatique et qui ne me fait rugir de colère : puisque, y compris, les soit disant bien pensants du PS (Aubry en tête) nous vendaient DSK comme un exemple de vertu et comme l'ultime recours.
RépondreSupprimerTout cela n'est pas drôle pour qui a une once de sens moral et éventuellement politique.
Tout cela ne me fait pas rire.
Aucun billet sur mon blog ne traitera cette affaire et ses conséquences de manière légère. Aucun lien ne sera fait sur les blogs (trop nombreux à mon goût), qui déconnent à ce sujet.
Je pense à Mme Diallo d'abord, je pense à la dignité des femmes surtout, je pense à la gauche (se qu'il en reste), je pense à mon pays, je pense à l'Europe.
Non, décidément, je n'ai pas envie de rire.
Je suis d'accord avec toi, j'ai écrit un billet sur la façon dont DSK avait été traité médiatiquement en pensant aussi a sa possible victime, rien n'est drôle dans ce drame, ceci dit la photo dans l'après-coup était plutôt cocasse, j'ai préféré en rire mais cela n'a rien à voir avec le type d'humour très moyen qu'on peut trouver sur d'autres blogs et les dessins reçu par mail. Et j'en ai reçu un paquet.
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