Je n'avais plus entendu cette expression depuis des lustres, je l'ai redécouverte par intermédiaire d'un garçon coiffeur qui habite à la campagne, qui vient travailler avec une valise de médecin des années 70 pesant dans les 20 kg, qui doit lire les petites annonces du Chasseur Français dans le Corail, qui roule en diesel le week-end en écoutant les grosses têtes et qui lève les yeux au ciel rien qu'à penser que les tarlouzes puissent se marier, déjà qu'il est assez emmerdé avec les greluches au quotidien et que de toutes façons ils font tous chier ces cons. Extraordinaire, le manche à couilles peut-être n'importe qui, un vrai con, un incompétent, un gugusse emmerdant ou une bande de greluches en train de discuter du dernier épisode de Dr House, c'est selon la mauvaise humeur du moment. Donc si j'ai bien compris voici quelques exemples de manche à couilles célèbres: - François Fillon et Jean-François Copé aux yeux de Sarkozy sont des manc
Pourquoi on refuse l'entrée des forces de l'ordre au salon de la totomobile ?
RépondreSupprimerils ont des transports d'entreprise très efficaces
SupprimerOui pas mal, et grillagés.
SupprimerBientôt les mêmes chez PSA.
RépondreSupprimerLes gars de PSA étaient déjà là, je ne sais pas s'il y aura un match retour.
SupprimerEl lisant l'article, je suis tombé là-dessus et j'ai failli m'étouffer : "Un cri unanime s'élève contre "la milice en bleu" qui bloque l'entrée."
RépondreSupprimerSarko, Hollande, même combat ? La question mérite d'être posée. Ceci dit, je ne cesserais jamais de m'insurger sur ce mauvais procès qu'on fait en France aux milices. Mis à part celle de Darnan qui n'en n'était pas une au sens propre du terme, les milices ont souvent joué un rôle important dans l'histoire et dans certains pays continuent à le tenir.
Ceci dit, il y a eu dans les années 50, 60 de véritables milices au sens qu'on lui donnait à l'époque de la "révolution nationale". Elles étaient majoritairement composées de cégétistes et constituaient le bras armé du PCF lorsqu'il s'agissait, par exemple, d'aller "intimider" Arthur Koestler (ou d'autres intellectuels "nocifs") à chacune de ses apparitions publiques.
Cette sortie est du plus haut comique.