Second degré
Lors de la galette à l'Elysée, Emmanuel Macron a salué "la France humble, silencieuse, au travail". L'extrait vient d'un article de Paris Match à propos de la "galette républicaine", article sympathique avec peu de mots et beaucoup de photos comme avec leur habitude, la mollesse des mots, l'hypnose des photos. Tout va bien, la France travaille et mange de la galette. Je pense qu'il faut le prendre au second degré, à l'aise. Du moins pour ceux qui aiment la galette. Sauf que moi depuis quelques jours j'ai vu la lumière depuis la polémique lancée malgré lui. En effet Fabien Roussel m'a fait plaisir avec ses tweets sur la bonne bouffe pour tous et depuis je ne pense qu'à voter pour lui. "Un bon vin, une bonne viande, un bon fromage : c’est la gastronomie française. Le meilleur moyen de la défendre, c’est de permettre aux Français d’y avoir accès" Le bonheur et la vérité mais la France des insoumis a réagi comme s'e...
Pourquoi on refuse l'entrée des forces de l'ordre au salon de la totomobile ?
RépondreSupprimerils ont des transports d'entreprise très efficaces
SupprimerOui pas mal, et grillagés.
SupprimerBientôt les mêmes chez PSA.
RépondreSupprimerLes gars de PSA étaient déjà là, je ne sais pas s'il y aura un match retour.
SupprimerEl lisant l'article, je suis tombé là-dessus et j'ai failli m'étouffer : "Un cri unanime s'élève contre "la milice en bleu" qui bloque l'entrée."
RépondreSupprimerSarko, Hollande, même combat ? La question mérite d'être posée. Ceci dit, je ne cesserais jamais de m'insurger sur ce mauvais procès qu'on fait en France aux milices. Mis à part celle de Darnan qui n'en n'était pas une au sens propre du terme, les milices ont souvent joué un rôle important dans l'histoire et dans certains pays continuent à le tenir.
Ceci dit, il y a eu dans les années 50, 60 de véritables milices au sens qu'on lui donnait à l'époque de la "révolution nationale". Elles étaient majoritairement composées de cégétistes et constituaient le bras armé du PCF lorsqu'il s'agissait, par exemple, d'aller "intimider" Arthur Koestler (ou d'autres intellectuels "nocifs") à chacune de ses apparitions publiques.
Cette sortie est du plus haut comique.